Le témoignage de Clara : FIV Don de sperme Fertilab
Clinique : Fertilab Barcelone*
  • 1 france
    Raconte nous ton parcours en France : J’ai pris rendez-vous au centre d’AMP près de chez moi dès que la loi de 2021 est passée (je suis une femme seule). J’ai été reçue fin 2021 et j’ai eu les ordonnances pour passer différents examens. Je pensais faire de simples inséminations sur cycles naturels. Dès l’échographie, les choses se sont compliquées : on m’a orientée vers une IRM. Le jour de l’IRM, le verdict est tombé : les deux trompes étaient fichues, à cause d’un hydrosalpinx. L’annonce de mon infertilité était faite. J’ai rappelé, en vain, le service d’AMP. Je me suis débrouillée seule pour trouver un chirurgien dans un autre hôpital, qui m’a fait une double salpingectomie. Le parcours en France s’est arrêté là, puisque j’ai décidé d’aller en Espagne.
  • 2 hospital
    Sur quels critères et comment as tu choisi ta clinique ? En découvrant le nombre de cliniques qui existent, j’ai commencé par chercher les tarifs et des témoignages. Sur ces deux critères, j’ai sollicité des rendez-vous avec deux cliniques (Eugin et Fertilab). Les deux se sont bien passés, mais le devis était un peu moins élevé chez Fertilab, et la médecin un peu plus chaleureuse. J’ai donc signé chez eux.
  • 3 espagne
    Comment s'est déroulé ton parcours en Espagne ? Après le rendez-vous téléphonique, tout s’est enchaîné rapidement : une fois mes résultats d’examens envoyés par mail, je pouvais commencer dès le mois suivant. Pour résumer, il y a eu deux FIV et six transferts d’embryons. On m’avait annoncé un parcours simple et rapide au vu de mes analyses, pourtant les échecs se sont enchaînés. Après le 3e, on a fait le DPI sur les embryons restants de la FIV 1, puis aussi sur ceux de la FIV 2. Je ne m’attendais pas à devoir faire autant d’essais, ni à aller aussi souvent à Barcelone (8 fois). Les difficultés sont restées inexpliquées, ce qui a été très difficile à vivre. La médecin (Dr Moffa) se voulait toujours encourageante et rassurante. Je l’avais au téléphone après chaque échec. La communication avec la clinique était correcte, mais je m’attendais à avoir toujours la même assistante et un moyen de les joindre plus facilement — ce n’a pas été le cas. Il faut être patient et vigilant. J’ai pu faire toutes mes tentatives aux dates qui m’arrangeaient pour mes congés. Sur place, tout est rapide et fluide. Après deux grossesses biochimiques, un œuf clair et deux négatifs, je suis tombée enceinte suite au transfert de février 2024. Ma première visite à la clinique remontait à l’été 2022.
  • 4 remboursement
    As tu bénéficié du remboursement par le CNSE ? Si oui comment ça s'est passé (durée, embûches...).Non
  • 5 budget
    À combien estime tu ton budget final? Et pour quel protocole ?Deux fiv icsi avec don de sperme et 6 transferts. Je dirais entre 15 et 20 000 .
  • 6 conseil
    Quels seraient les conseils que tu donnerais à une fivette qui se lance en Espagne ?-Ne pas pas s'attendre à être maman rapidement. C'est souvent un parcours long et difficile. -Prevoir un budget très au delà du premier devis (examens supplémentaires, deuxième FIV , DPI, coût des transferts etc) - S'assurer de l'aide possible de l'entourage : avoir qqun pour venir nous chercher à l'aéroport par exemple. Pour nous soutenir en cas de FC etc. - Il est totalement possible de faire l'aller retour Paris-Barcelone dans la journée si on ne veut pas s'éterniser seule sur place. -trouver un centre ou un médecin en France qui réalise les échos de contrôle et fait les ordonnances, ça simplifie énormément la vie. Sinon on se retrouve à courir les rdv, chercher des créneaux d'écho dans tous les cabinets du département, c'est un enfer. -s'armer de patience : tout est question d'attente dans ce parcours. - Même sans parler espagnol, ce n'est pas un problème, tout se fait très facilement. -En cas d'échecs, le dpi semble coûteux mais en comparaison avec le prix des transferts qui échouent et ce qu'on y perd comme temps et en terme de santé mentale, ce n'est vraiment rien du tout. Autant foncer, c'est un outil génial. -vueling est toujours là compagnie la moins cher, pas la peine de comparer pendant des heures. - les taxis ne sont pas excessivement chers donc si on est pressée c'est tout à faisable de rejoindre la ville depuis l'aéroport par ce biais. Sinon prendre l'aerobus (navette) est simple et efficace.
  • 6 conseil
    As-tu un ou des bons plans espagnols à partager avec les autres fivettes espagnoles ? (hôtel, restaurant, activité, astuce)Il y a une boutique lego à l'aéroport et une grande terrasse ou prendre l'air dans le terminal A.
  • 1 france
    Raconte nous ton parcours en France : J’ai pris rendez-vous au centre d’AMP près de chez moi dès que la loi de 2021 est passée (je suis une femme seule). J’ai été reçue fin 2021 et j’ai eu les ordonnances pour passer différents examens. Je pensais faire de simples inséminations sur cycles naturels. Dès l’échographie, les choses se sont compliquées : on m’a orientée vers une IRM. Le jour de l’IRM, le verdict est tombé : les deux trompes étaient fichues, à cause d’un hydrosalpinx. L’annonce de mon infertilité était faite. J’ai rappelé, en vain, le service d’AMP. Je me suis débrouillée seule pour trouver un chirurgien dans un autre hôpital, qui m’a fait une double salpingectomie. Le parcours en France s’est arrêté là, puisque j’ai décidé d’aller en Espagne.
  • 2 hospital
    Sur quels critères et comment as tu choisi ta clinique ? En découvrant le nombre de cliniques qui existent, j’ai commencé par chercher les tarifs et des témoignages. Sur ces deux critères, j’ai sollicité des rendez-vous avec deux cliniques (Eugin et Fertilab). Les deux se sont bien passés, mais le devis était un peu moins élevé chez Fertilab, et la médecin un peu plus chaleureuse. J’ai donc signé chez eux.
  • 3 espagne
    Comment s'est déroulé ton parcours en Espagne ? Après le rendez-vous téléphonique, tout s’est enchaîné rapidement : une fois mes résultats d’examens envoyés par mail, je pouvais commencer dès le mois suivant. Pour résumer, il y a eu deux FIV et six transferts d’embryons. On m’avait annoncé un parcours simple et rapide au vu de mes analyses, pourtant les échecs se sont enchaînés. Après le 3e, on a fait le DPI sur les embryons restants de la FIV 1, puis aussi sur ceux de la FIV 2. Je ne m’attendais pas à devoir faire autant d’essais, ni à aller aussi souvent à Barcelone (8 fois). Les difficultés sont restées inexpliquées, ce qui a été très difficile à vivre. La médecin (Dr Moffa) se voulait toujours encourageante et rassurante. Je l’avais au téléphone après chaque échec. La communication avec la clinique était correcte, mais je m’attendais à avoir toujours la même assistante et un moyen de les joindre plus facilement — ce n’a pas été le cas. Il faut être patient et vigilant. J’ai pu faire toutes mes tentatives aux dates qui m’arrangeaient pour mes congés. Sur place, tout est rapide et fluide. Après deux grossesses biochimiques, un œuf clair et deux négatifs, je suis tombée enceinte suite au transfert de février 2024. Ma première visite à la clinique remontait à l’été 2022.
  • 4 remboursement
    As tu bénéficié du remboursement par le CNSE ? Si oui comment ça s'est passé (durée, embûches...).Non
  • 5 budget
    À combien estime tu ton budget final? Et pour quel protocole ?Deux fiv icsi avec don de sperme et 6 transferts. Je dirais entre 15 et 20 000 .
  • 6 conseil
    Quels seraient les conseils que tu donnerais à une fivette qui se lance en Espagne ?-Ne pas pas s'attendre à être maman rapidement. C'est souvent un parcours long et difficile. -Prevoir un budget très au delà du premier devis (examens supplémentaires, deuxième FIV , DPI, coût des transferts etc) - S'assurer de l'aide possible de l'entourage : avoir qqun pour venir nous chercher à l'aéroport par exemple. Pour nous soutenir en cas de FC etc. - Il est totalement possible de faire l'aller retour Paris-Barcelone dans la journée si on ne veut pas s'éterniser seule sur place. -trouver un centre ou un médecin en France qui réalise les échos de contrôle et fait les ordonnances, ça simplifie énormément la vie. Sinon on se retrouve à courir les rdv, chercher des créneaux d'écho dans tous les cabinets du département, c'est un enfer. -s'armer de patience : tout est question d'attente dans ce parcours. - Même sans parler espagnol, ce n'est pas un problème, tout se fait très facilement. -En cas d'échecs, le dpi semble coûteux mais en comparaison avec le prix des transferts qui échouent et ce qu'on y perd comme temps et en terme de santé mentale, ce n'est vraiment rien du tout. Autant foncer, c'est un outil génial. -vueling est toujours là compagnie la moins cher, pas la peine de comparer pendant des heures. - les taxis ne sont pas excessivement chers donc si on est pressée c'est tout à faisable de rejoindre la ville depuis l'aéroport par ce biais. Sinon prendre l'aerobus (navette) est simple et efficace.
  • 6 conseil
    As-tu un ou des bons plans espagnols à partager avec les autres fivettes espagnoles ? (hôtel, restaurant, activité, astuce)Il y a une boutique lego à l'aéroport et une grande terrasse ou prendre l'air dans le terminal A.