Le témoignage de Élodie : Don de sperme IVI Barcelone
Clinique : IVI Barcelone
Raconte nous ton parcours en France : Après un an d’essais bébé sans succès, nous nous lançons dans une batterie de tests en août 2017.
En novembre 2017, on diagnostique à mon mari le syndrome de Klinefelter. Son urologue souhaite tenter une biopsie testiculaire, car nous avons moins de 30 ans et il veut nous donner une chance de devenir parents.
Une paillette est congelée en février 2018.
Notre dossier en FIV est refusé à Nice, car nous devons faire un DPI pour ne pas transmettre le X fragile au futur bébé.
Nous démarchons les CHU de Montpellier, Nantes, Paris… mais nous sommes refusés partout.
Strasbourg accepte, une lueur d’espoir, mais le CHU revient sur sa décision au vu des chances minimes de réussite.
Nous partons donc pour l’Espagne en juillet 2018.
Sur quels critères et comment as tu choisi ta clinique ? Nous avons été orientés par l’urologue de mon mari et l’un de ses confrères gynécologue.
Comment s'est déroulé ton parcours en Espagne ? Parcours long, les montagnes russes, mais une équipe médicale et un médecin à l’écoute, bienveillants.
Notre premier rendez-vous à la clinique IVI a eu lieu en juillet 2018. À notre retour en France, nous avons entrepris les démarches pour le rapatriement de la paillette en Espagne. Le temps de réponse de l’Agence de la biomédecine en France a été assez long.
Nous avons finalement rapatrié la paillette de mon mari en décembre 2018.
En mai 2019, j’ai ma ponction et la paillette est décongelée. Malheureusement, celle-ci est inutilisable.
Nous avions prévu un plan B avec un donneur, mais nous avions beaucoup d’espoir de pouvoir utiliser les gamètes de mon mari.
Mes ovocytes sont fécondés avec les gamètes du donneur, et 7 embryons sont vitrifiés.
Nous ne faisons pas immédiatement de transfert, le temps pour mon mari de faire le deuil de ne pas être biologiquement papa.
Il nous aura fallu 4 transferts, entre juillet 2019 et octobre 2021, avant que notre embryon s’accroche.
Notre petit Rafael est né le 5 juillet 2022.
As tu bénéficié du remboursement par le CNSE ? Si oui comment ça s'est passé (durée, embûches...).Pour le coût du dernier transfert uniquement.
À combien estime tu ton budget final? Et pour quel protocole ?FIV ICSI avec donneur 4 TEC et divers examens pour chercher une raison de « non accroche » sans compter hôtel et voyage 16500€.
Quels seraient les conseils que tu donnerais à une fivette qui se lance en Espagne ?Le parcours PMA est difficile, mais il l’est encore plus avec la distance, le coût financier…
S’accrocher, ne pas perdre espoir. Faire confiance à son équipe médicale.
En France, les transferts peuvent s’enchaîner cycle après cycle.
En Espagne, cela a été plus long car chaque TEC a un coût, et les examens complémentaires aussi. Il faut vraiment s’armer de patience.
Pour ma part, il a fallu 4 TEC, alors que je n’avais aucun problème de fertilité.
Pour d’autres femmes, l’embryon s’accroche dès la première tentative. Il ne faut donc pas prendre mon parcours comme référence : ça peut être plus rapide pour d’autres.
Chaque expérience est unique.
As-tu un ou des bons plans espagnols à partager avec les autres fivettes espagnoles ? (hôtel, restaurant, activité, astuce)Barcelone est une ville qui regorge de surprises.
Nous y sommes venus 7 fois dans le cadre de notre FIV, 2 fois avant même de vouloir devenir parents, et à chaque voyage, nous découvrons de nouveaux lieux, de nouvelles choses à visiter.
Joindre l’utile à l’agréable : ne pas venir juste pour la PMA, mais aussi pour visiter, profiter…
Raconte nous ton parcours en France : Après un an d’essais bébé sans succès, nous nous lançons dans une batterie de tests en août 2017.
En novembre 2017, on diagnostique à mon mari le syndrome de Klinefelter. Son urologue souhaite tenter une biopsie testiculaire, car nous avons moins de 30 ans et il veut nous donner une chance de devenir parents.
Une paillette est congelée en février 2018.
Notre dossier en FIV est refusé à Nice, car nous devons faire un DPI pour ne pas transmettre le X fragile au futur bébé.
Nous démarchons les CHU de Montpellier, Nantes, Paris… mais nous sommes refusés partout.
Strasbourg accepte, une lueur d’espoir, mais le CHU revient sur sa décision au vu des chances minimes de réussite.
Nous partons donc pour l’Espagne en juillet 2018.
Sur quels critères et comment as tu choisi ta clinique ? Nous avons été orientés par l’urologue de mon mari et l’un de ses confrères gynécologue.
Comment s'est déroulé ton parcours en Espagne ? Parcours long, les montagnes russes, mais une équipe médicale et un médecin à l’écoute, bienveillants.
Notre premier rendez-vous à la clinique IVI a eu lieu en juillet 2018. À notre retour en France, nous avons entrepris les démarches pour le rapatriement de la paillette en Espagne. Le temps de réponse de l’Agence de la biomédecine en France a été assez long.
Nous avons finalement rapatrié la paillette de mon mari en décembre 2018.
En mai 2019, j’ai ma ponction et la paillette est décongelée. Malheureusement, celle-ci est inutilisable.
Nous avions prévu un plan B avec un donneur, mais nous avions beaucoup d’espoir de pouvoir utiliser les gamètes de mon mari.
Mes ovocytes sont fécondés avec les gamètes du donneur, et 7 embryons sont vitrifiés.
Nous ne faisons pas immédiatement de transfert, le temps pour mon mari de faire le deuil de ne pas être biologiquement papa.
Il nous aura fallu 4 transferts, entre juillet 2019 et octobre 2021, avant que notre embryon s’accroche.
Notre petit Rafael est né le 5 juillet 2022.
As tu bénéficié du remboursement par le CNSE ? Si oui comment ça s'est passé (durée, embûches...).Pour le coût du dernier transfert uniquement.
À combien estime tu ton budget final? Et pour quel protocole ?FIV ICSI avec donneur 4 TEC et divers examens pour chercher une raison de « non accroche » sans compter hôtel et voyage 16500€.
Quels seraient les conseils que tu donnerais à une fivette qui se lance en Espagne ?Le parcours PMA est difficile, mais il l’est encore plus avec la distance, le coût financier…
S’accrocher, ne pas perdre espoir. Faire confiance à son équipe médicale.
En France, les transferts peuvent s’enchaîner cycle après cycle.
En Espagne, cela a été plus long car chaque TEC a un coût, et les examens complémentaires aussi. Il faut vraiment s’armer de patience.
Pour ma part, il a fallu 4 TEC, alors que je n’avais aucun problème de fertilité.
Pour d’autres femmes, l’embryon s’accroche dès la première tentative. Il ne faut donc pas prendre mon parcours comme référence : ça peut être plus rapide pour d’autres.
Chaque expérience est unique.
As-tu un ou des bons plans espagnols à partager avec les autres fivettes espagnoles ? (hôtel, restaurant, activité, astuce)Barcelone est une ville qui regorge de surprises.
Nous y sommes venus 7 fois dans le cadre de notre FIV, 2 fois avant même de vouloir devenir parents, et à chaque voyage, nous découvrons de nouveaux lieux, de nouvelles choses à visiter.
Joindre l’utile à l’agréable : ne pas venir juste pour la PMA, mais aussi pour visiter, profiter…