Solena : FIVDO Eugin Barcelone - Les fivettes espagnoles

Le témoignage de Solena : FIVDO Eugin Barcelone

Clinique : Eugin Barcelone*

Raconte nous ton parcours en France : Une grossesse impeccable à 26 ans. À 36 ans, un désir d’enfant avec mon conjoint… Trois fausses couches. Les années passent, et aucun gynécologue ne me propose la PMA en France. Je tombe malade, on me découvre des lésions cancéreuses à l’utérus. Deux gynécologues que je consulte veulent que je retire mon utérus. Je demande un troisième avis auprès d’un gynécologue à Paris et, après une petite intervention, je tombe enceinte naturellement en 2016. Nous voyons un gynécologue à Paris qui me fait des examens. Là, elle me dit que notre chance d’avoir un enfant à 43 ans est compliquée. Elle me parle de la clinique Eugin, et nous commençons les démarches en 2017.

Sur quels critères et comment as tu choisi ta clinique ? Une cliente avait eu ses jumeaux là-bas, et le gynécologue de Paris connaissait bien la clinique. Ça nous a rassurés. On a donc décidé de se lancer.

Comment s'est déroulé ton parcours en Espagne ? Très bien, malgré les trois premières tentatives infructueuses. Toujours un bon accueil, de l’écoute. Les protocoles, eux, ne changeaient jamais. J’ai décidé de faire la dernière tentative sur un cycle naturel.

As tu bénéficié du remboursement par le CNSE ? Si oui comment ça s'est passé (durée, embûches...).Non, à cause de mon âge, je n’y avais pas droit.

À combien estime tu ton budget final? Et pour quel protocole ?18 000 euros pour 4 FIV DO.

Quels seraient les conseils que tu donnerais à une fivette qui se lance en Espagne ?De foncer, de se faire confiance… Si elle ne sent pas quelque chose, le dire. Parler, échanger, surtout avec le groupe qui est formidable.

As-tu un ou des bons plans espagnols à partager avec les autres fivettes espagnoles ? (hôtel, restaurant, activité, astuce)On a testé tous les Airbnb et hôtels. Le mieux, c’est d’avoir un hôtel pas trop loin de la clinique, et de prendre le temps de visiter pour se changer les idées. Penser à réserver les bons restos, car ils sont souvent pris d’assaut. Tout se réserve en avance sur Internet.

Raconte nous ton parcours en France : Une grossesse impeccable à 26 ans. À 36 ans, un désir d’enfant avec mon conjoint… Trois fausses couches. Les années passent, et aucun gynécologue ne me propose la PMA en France. Je tombe malade, on me découvre des lésions cancéreuses à l’utérus. Deux gynécologues que je consulte veulent que je retire mon utérus. Je demande un troisième avis auprès d’un gynécologue à Paris et, après une petite intervention, je tombe enceinte naturellement en 2016. Nous voyons un gynécologue à Paris qui me fait des examens. Là, elle me dit que notre chance d’avoir un enfant à 43 ans est compliquée. Elle me parle de la clinique Eugin, et nous commençons les démarches en 2017.

Sur quels critères et comment as tu choisi ta clinique ? Une cliente avait eu ses jumeaux là-bas, et le gynécologue de Paris connaissait bien la clinique. Ça nous a rassurés. On a donc décidé de se lancer.

Comment s'est déroulé ton parcours en Espagne ? Très bien, malgré les trois premières tentatives infructueuses. Toujours un bon accueil, de l’écoute. Les protocoles, eux, ne changeaient jamais. J’ai décidé de faire la dernière tentative sur un cycle naturel.

As tu bénéficié du remboursement par le CNSE ? Si oui comment ça s'est passé (durée, embûches...).Non, à cause de mon âge, je n’y avais pas droit.

À combien estime tu ton budget final? Et pour quel protocole ?18 000 euros pour 4 FIV DO.

Quels seraient les conseils que tu donnerais à une fivette qui se lance en Espagne ?De foncer, de se faire confiance… Si elle ne sent pas quelque chose, le dire. Parler, échanger, surtout avec le groupe qui est formidable.

As-tu un ou des bons plans espagnols à partager avec les autres fivettes espagnoles ? (hôtel, restaurant, activité, astuce)On a testé tous les Airbnb et hôtels. Le mieux, c’est d’avoir un hôtel pas trop loin de la clinique, et de prendre le temps de visiter pour se changer les idées. Penser à réserver les bons restos, car ils sont souvent pris d’assaut. Tout se réserve en avance sur Internet.